B- que vous êtes rentré dans un jeu factice et vous êtes pris les pieds dans les conneries que je vous ai racontées
C- que vous venez de reprendre votre calme, parce que vous avez compris que cela aurait pu durer tant que vous pétiez un câble.
Ajouté au fait que peu de gens osent censurer, on touche aux limites de l’exercice. Regardez votre copine Sandrin, elle ne sait plus si elle me hait, si je la fais rire, si je suis un vrai sale con ou un joueur. Tout cela est bien vain.
Je vais arrêter de vous (vous, Sandrin, et consort) emmerder parce que je voudrais écrire quelques trucs qui me demandent beaucoup de temps. Je suis un vrai laborieux vous savez. Ecrire me demande de la peine, je n’ai aucun talent, mais de l’exigence.
(Si sans rancune, alors : amicalement, sinon, tant pis je n’en ferai pas une maladie)
Moi-Les blogs sont avant tout bon enfant,ici pas de chichi.Ce n'est pas un espace dédié à l'université populaire,c'est une auberge espagnole.Je n'ai jamais frisé l'apoplexie, les salves échangées furent chargées de bonne humeur entre grandes personnes.Joueur ,vous l'êtes sans doute,la provocation est un outil idéal pour faire tomber les masques(je l'ai moi même pratiquée).Me concernant,pas de problème j'encaisse,pour Sandrin,l'acharnement me semble à la limite du grotesque.Laborieux dites vous ,Victor Hugo l'était,vous avez de l'avenir.Vous avez malgré tout secoué le tapis,vous avez ri,tant mieux,la sinistrose n'est donc pas contagieuse.Le rire n'est-il pas le propre de l'homme .Bon vent dans vos courses solitaires.N'écrivez que pour vous ,sans concessions,et merde !